#baris-pehlivan
Ekrem İmamoğlu : « La Turquie est entrée dans une nouvelle période « Ce que vous touchez brûle ». Nous constatons que le pouvoir conféré par la loi est utilisé de manière abusive et que des tentatives sont faites pour instiller la peur dans tous les secteurs de la société. Nous n’aurons pas peur et nous ne resterons pas silencieux. N’ayez pas peur et ne restez pas silencieux ! La détention des journalistes Barış Pehlivan et Serhan Asker est une pratique honteuse. Nous nous trouvons dans une situation étrange où l’injustice est devenue une pratique ordinaire du pouvoir, où elle ne fait même pas l’objet d’un examen par un témoin expert, mais où dénoncer l’injustice et l’illégalité est devenu un crime. Les urnes viendront, tout sera fini. »
Ekrem İmamoğlu: „In der Türkei ist eine neue Ära des ‚Was man berührt, das brennt‘ angebrochen.“ Wir sehen, dass die Macht des Rechts ganz offen missbraucht wird und dass versucht wird, in allen Teilen der Gesellschaft Angst zu verbreiten. Wir werden keine Angst haben und wir werden nicht schweigen. Habt keine Angst und schweigt nicht! Die Inhaftierung der Journalisten Barış Pehlivan und Serhan Asker ist eine beschämende Praxis. Wir befinden uns in einer seltsamen Situation, in der Ungerechtigkeit zu einer alltäglichen Machtpraxis geworden ist, in der sie nicht einmal Gegenstand einer Untersuchung durch einen Sachverständigen ist, sondern die Meldung von Ungerechtigkeit und Rechtswidrigkeit zu einem Verbrechen geworden ist. Die Wahlurne wird kommen, und dann wird alles vorbei sein."
Barış Pehlivan : « J'ai vu le visage de la prison cinq fois sous le gouvernement de l'AKP. Tout au long de ma carrière de journaliste, je me suis battu pour que la religion de l’État soit la justice. « J'ai livré cette lutte non seulement pour moi-même, mais aussi pour les enfants et les petits-enfants de tous. »
